Déontologie du coach, c’est simple…
Exemple 1 :
Un client m’a demandé de travailler avec lui, c’est un “ami” avant d’être un client.
Après avoir tenté de le coacher, j’ai perçu les limites du fait de se connaitre, hors contexte entreprise. J’ai choisi de faire travailler avec un autre coach CT et de lui laisser le coaching du dirigeant et de me concentrer sur le Team Building dans son entreprise en collaboration avec ce même coach.
J’ai retrouvé mon équilibre, le client s’est senti plus impliqué avec quelqu’un qu’il ne connaissait pas.
Exemple 2 :
Par 2 reprises, des prospects m’ont demandés de les coacher. Lors du premier entretien, j’ai détecté une confusion concernant mon rôle entre coach / thérapeute et formateur. Ils s’attendaient à ce que je les forme, que j’intervienne pour les aider pour des blocages liés à leur passé. J’ai expliqué mon métier, ce que je faisais, où j’intervenais et ce que je ne pouvais pas faire. Je n’ai pas facturé : erreur, intégrité, je ne sais pas. Conscience tranquille en tout cas.

La déontologie du coach
A titre personnel, sans me référer aux associations de coachs françaises et internationales : je prône l’intégrité, la confidentialité et si je sens qu’un élément me met en porte-à-faux par rapport à ces valeurs, je décline. A chaque instant, je cherche si je suis libre ou non.
Et je suis vigilante sur d’éventuels conflits d’intérêt et je ne coache pas des conjoints d’amis pour la petite histoire…
Au moindre doute sérieux, je fais intervenir un autre coach ou je le recommande.
Pour travailler avec moi, contactez moi.